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Ce samedi 11 juin 2022, s'est tenue l'Assemblée Générale Extraordinaire de la FIF à la Maison de l'Entreprise (CGECI) située au Plateau. L'ordre du jour tenait principalement en 2 points : la modification d’un certain nombre de textes tant au niveau des statuts qu’au niveau du code électoral et les élections des membres de la Commission électorale et des membres de la Commission du contentieux électoral.
En ce qui concerne les textes, pour la saison 2022-2023, la Ligue 1 passera de 14 à 16 clubs et la D3 de 38 à 40 clubs. La Ligue 2 n'a pas bougé. Quant aux montées ou aux descentes, la Ligue Professionnelle et la Ligue Amateur doivent faire des propositions au Comité exécutif.
" Maintenant que les nombres ont été figés, ces deux ligues vont se réunir et nous faire des propositions. C’est sur les bases de ces propositions que nous allons arrêter dans ces règlements spéciaux les modalités de montée et de descente. J’attends que les deux ligues me fassent des propositions. Avant la prochaine saison, tout sera arrêté", a souligné Idriss Diallo.
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Le Comité exécutif de la FIF aussi passera de 20 à 25 membres. Pour l'instant, ils ne sont que 20 mais dans un bref délai, le comité nommera 5 nouveaux membres. Idriss a promis que la nomination se fera dans les meilleurs délais.
Au niveau des commissions, la Commission électorale a désormais un mandat de 5 ans au de lieu de 4. Elle est dirigée par Kouamé Bi Iritié avec pour vice-président Tra Bi Botty Tah et pour membres Kouadio Charles Winner, Blédé Dohora, Sanogo Mamadou, Nassa Koko et Koné Yaya.
Pour la Commission du contentieux électoral, son président est Delbé Zirignon et son vice-président Kouassi Kouamé Paul. Les membres sont Konan Kouassi et Yao Kouakou Lataille.
Le 30 juin 2022 se tiendra l’assemblée générale ordinaire et elle sera portée sur les comptes rendus financiers de la normalisation, sur l’élection de la Commission de Discipline, la Commission de Recours et la désignation des commissaires aux comptes.
La médiatisation des grandes étapes de la FIF semble montrer que le président Idriss Diallo apporte un vent de crédibilité sur cette institution longtemps critiquée.