Les performances des Éléphants et des Super Eagles ont naturellement eu un impact significatif sur ce classement. Les Ivoiriens, sacrés champions, ont réalisé une avancée remarquable en grimpant de la 49e à la 39e place au niveau mondial (+10). Quant à l'équipe nigériane, leur ascension est encore plus remarquable, passant de la 42e à la 28e place (+14), grâce à leur parcours jusqu'en finale.
Cette édition de la Coupe d'Afrique des Nations a également chamboulé le podium continental. La Tunisie, éliminée dès les phases de groupes, a vu sa position chuter tant au niveau africain qu'au classement mondial, passant de la 28e à la 41e place. De manière similaire, l'Algérie, également sortie dès les premiers stades de la compétition, a subi une rétrogradation significative (-13), tombant de la 30e à la 43e place. Cette chute a relégué l'Algérie à la septième position sur le continent africain, alors qu'elle était proche du podium avant le début de la compétition.
Candidat déclaré à l'élection présidentielle du 25 octobre 2025, Tidjane Thiam président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI-RDA), s'inquiète du climat politique en Côte d'Ivoire. Invité sur le plateau de France 24 ce mercredi 19 mars. Il a dénoncé les menaces qu’il reçoit quotidiennement, critiqué le bilan du gouvernement en place et mis en garde contre une élection qui risque de ne pas être inclusive.
Une interview de Lanciné Gbon Coulibaly diffusée dans l’émission ActuPeople de Guillaume Vergès, a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Sans détour, il a abordé des sujets sensibles tels que le tribalisme, le chômage, la réconciliation nationale et la justice en Côte d’Ivoire. Ses déclarations, perçues comme un coup de poing dans le débat public, ont ouvert des discussions enflammées et relancé des questions cruciales sur l’avenir du pays.
Mardi 18 mars, sous la médiation de l'émir du Qatar Tamim ben Hamad al-Thani, le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi et son homologue rwandais, Paul Kagame marquent leur premier face-à-face depuis plus d'un an. Cette rencontre intervient dans un contexte de tensions extrêmes entre la République Démocratique du Congo ( RDC ) et le Rwanda, exacerbées par l'avancée du M23, groupe rebelle que Kinshasa accuse Kigali de soutenir.