ADVERTISEMENT
Des milliers d'emplois à la zone industrielle sont menacés
La zone industrielle de Yopougon, connue pour être le siège de plusieurs entreprises à grande publicité vit encore des moments d'inquiétudes. Après le mur qui s'est effondré sur le personnel d'une entreprise, aujourd'hui, il est question de concurrence déloyale et de perte d'emploi. Voici ce qui s'y passe ?
La zone industrielle de Vridi (image d'illustration)
Lire Aussi
Selon le quotidien "Nouveau Réveil", ce sont plusieurs entreprises ivoiriennes établies dans la zone industrielle de Yopougon qui expriment leur préoccupation quant à la concurrence déloyale à laquelle elles sont confrontées de la part de certaines entreprises étrangères opérant dans les mêmes domaines d'activité, dont le statut légal semble douteux. Ces entreprises plaignantes sont spécialisées dans la production de couches pour bébés, de détergents en poudre, de fer à béton, ainsi que d'une variété d'autres produits, offrant un emploi à plus de 6000 personnes.
Zone Industrielle de Yopougon/LE NOUVEAU RÉVEIL PAR DR
Zone Industrielle de Yopougon
Pulse Côte d'Ivoire
Des milliers d'employés perdront leur travail
ADVERTISEMENT
Cette concurrence inéquitable a un impact négatif sur ces sociétés, mettant en péril leur pérennité. En conséquence, des milliers d'emplois sont actuellement menacés dans la zone industrielle de Yopougon.
Ces préoccupations ont récemment été communiquées aux employés, qui sont désormais inquiets quant à la possibilité de licenciements imminents si la situation demeure inchangée. La principale source d'inquiétude provient des allégations des entreprises locales accusant des sociétés chinoises de faire entrer quotidiennement de nombreux camions de produits fabriqués à l'étranger, vendus à des prix nettement inférieurs sur le marché ivoirien, et arborant des emballages exclusivement rédigés en anglais.
Selon certaines sources, les autorités compétentes enquêtent sur la légalité de ces entreprises étrangères.
ADVERTISEMENT
Témoin oculaire? Partagez avec nous vos infos via les réseaux sociaux ou par mail:
Email: redaction@pulse.ci
Article suivant
