Après une journée de troubles au sein de l'Université Felix Houphouët Boigny entre la FESCI et les forces de l'autre, l'association estudiantine de Côte d'Ivoire a suspendu le mot d'ordre de grève jusqu'à nouvel ordre afin de laisser certaines activités importantes de la nation se faire. C'est à travers un communiqué datant du 4 août 2024 que l'information a été donnée. Il a été signé par le Secrétaire General National Kambou Sié.
Education : La FESCI suspend le mot d'ordre de grève jusqu'à nouvel ordre
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Pour les dirigeants de la FESCI, cette décision a été prise en considération des événements importants à venir et surtout pour rappeler à l'opinion publique que la FESCI a toujours été une organisation engagée envers les valeurs républicaines et citoyennes.
Parmi les raisons invoquées pour cette suspension, on trouve la Journée de l'Excellence Nationale. Cet événement, prévu pour lundi, verra le Président de la République remettre des distinctions, honorant les mérites des citoyens. C'est une occasion de célébrer l'excellence académique et de démontrer l'engagement des étudiants envers des valeurs positives.
Le discours du Chef de l'État du mardi est également un point crucial. Ce discours pourrait contenir des annonces significatives pour l'avenir du pays et du système éducatif. La FESCI encourage donc les étudiants à prêter une oreille attentive à ces propos pour orienter leurs futures actions de manière éclairée.
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De plus, les célébrations de la Fête Nationale le mercredi représentent un moment de cohésion nationale et de fierté patriotique. La participation des étudiants à cet événement est une démonstration de leur responsabilité en tant que futurs leaders de la nation.
La question de la libération de leurs amis
Parallèlement, la FESCI a souligné l'importance des discussions en cours avec les autorités compétentes concernant la situation d'incarcération de leurs camarades. L'organisation croit fermement au dialogue comme moyen d'obtenir des résultats justes et durables.
Le Secrétaire Général de la FESCI a donc appelé à suspendre toutes les actions de grève sur les campus universitaires jusqu'à nouvel ordre. Cette suspension n'est pas un signe de faiblesse pour eux, mais une stratégie réfléchie visant à maximiser les chances de succès dans cette lutte.
