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Mukansanga, Stéphanie Frappart (France) et Yoshimi Yamashita (Japon), toutes des femmes, font partie des 36 arbitres sélectionnés pour superviser les matches du tournoi qui se déroulera du 20 novembre au 18 décembre 2022.
C'est la première fois que l'événement organisé au Qatar, après 22 éditions du tournoi international de football masculin senior, voit des femmes occuper des fonctions d'arbitre sur le terrain.
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Mukansanga devient effectivement la première femme africaine à officier lors de la phase finale de la Coupe du monde masculine de la FIFA, où elle était le quatrième officiel du match. Ce succès vient s'ajouter à son palmarès impressionnant.
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La jeune femme de 33 ans a été la première femme à officier lors de la Coupe d'Afrique des Nations de 2022, à la tête d'une équipe d'arbitres entièrement féminine comprenant Fatiha Jermoumi (Maroc), Carine Atemzabong (Cameroun) et Bouchra Karboubi (Maroc) en tant que VAR.
L'officielle rwandaise a participé à des matchs aux Jeux olympiques de Tokyo et à la Coupe du monde de football féminin en France.
Attirée par le métier d'arbitre dès son enfance, elle a commencé sa carrière d'arbitre à l'adolescence au Rwanda. Elle a abandonné le football après l'école secondaire pour devenir arbitre.
Mukansanga est titulaire d'une licence d'infirmière et est la plus jeune des trois femmes arbitres sélectionnées.
Elle a arbitré le match de football le plus haut du monde en altitude sur le mont Kilimandjaro en 2017.
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