Theresia Kyalo, connue pour ses créations innovantes dans le domaine de la bijouterie, aurait été la victime de Tongoro, qui aurait reproduit certaines de ses pièces sans attribution ni autorisation. La bijoutière kényane, qui s'est fait connaître par son projet "Body Pieces" mettant en avant des bijoux de visage électrisants en laiton, aurait vu son travail repris par Tongoro dans une série de pièces de leur propre collection.
Le monde de la mode est de nouveau secoué par des allégations de plagiat, cette fois-ci impliquant la marque africaine renommée, Tongoro, et la talentueuse bijoutière kényane Theresia Kyalo. Alors que Tongoro accuse la marque Balmain de plagiat, de nouvelles révélations suggèrent que la célèbre marque aurait également copié le travail de Theresia Kyalo, jetant ainsi une lumière crue sur les pratiques éthiques au sein de l'industrie.
Les similitudes entre les créations de Theresia Kyalo et celles de Tongoro sont frappantes, allant au-delà de l'inspiration pour entrer clairement dans le territoire du plagiat. Les amateurs de mode et les observateurs de l'industrie ont exprimé leur consternation face à cette nouvelle révélation, soulignant l'importance de protéger les créateurs originaux et de promouvoir une concurrence éthique au sein de l'industrie.
Theresia Kyalo, confrontée à cette situation délicate, a pris la parole pour exprimer son mécontentement. Dans une déclaration publiée sur ses plateformes sociales, elle a déclaré : "C'est décevant de voir une marque renommée comme Tongoro s'engager dans des pratiques de plagiat. En tant que créatrice, je valorise l'originalité et l'authenticité, et il est regrettable de constater que mon travail a été reproduit sans respect pour la créativité artistique".
Les conséquences de ces allégations de plagiat pourraient être dévastatrices pour l'image de Tongoro, qui est déjà sous le feu des projecteurs pour ses accusations envers Balmain.