ADVERTISEMENT
ADVERTISEMENT

5 films ivoiriens des années 1980-1990 qui ont été appréciés par les ivoiriens

Le cinéma ivoirien offre un kaléidoscope d'histoires captivantes qui reflètent la richesse et la complexité de la société ivoirienne. De "Visages de femmes" à "Wariko, le gros lot", ces films offrent un aperçu saisissant des défis et des triomphes des individus dans un pays en évolution. Ces films ont fait la une des années 1980- début 1990.

Rue Princesse de Henri Duparc/Fondation Henri Duparc

Cette comédie dramatique qui dure 105 minutes dépeint les défis et les luttes des femmes ivoiriennes, célébrant leur résilience et leur capacité à surmonter les obstacles, tout en mélangeant comédie et drame pour offrir un regard poignant et réaliste sur la condition féminine en Côte d'Ivoire. Il revient sur 3 femmes : N'Guessan qui est séduite par le jeune frère de son mari, Fanta qui pour affronter la jalousie de son mari apprend le karaté, Bernadette qui dirige à Abidjan une entreprise florissante, mais ses bénéfices sont accaparés par sa belle-famille.

Pour obscénité et atteinte à la pudeur, le film est interdit pendant une année en Côte d'Ivoire avant d'être interdit qu'aux moins de 18 ans.

ADVERTISEMENT

"Rue Princesse" est une comédie sociale ivoirienne réalisée par Henri Duparc en 1991. Le film se déroule dans les quartiers animés et populaires d'Abidjan, où se croisent les chemins de personnes issues de milieux sociaux très différents. Jean, fils d'un riche bourgeois d'Abidjan, refuse de suivre la voie tracée par son père dans l'entreprise familiale. C'est dans le quartier animé de la rue Princesse, connu pour sa vie nocturne vibrante, que Jean rencontre Josie, une prostituée pétillante et débrouillarde. Josie gère sa vie comme une entreprise, veillant à se protéger des dangers tels que le sida. Malgré ses interactions avec des clients de la haute société, elle est attirée par Jean. Celui-ci, séduit par son charme et convaincu de ses talents cachés, l'encourage à chanter dans son groupe.

C'est à la suite de ce film que la célèbre rue princesse à Yopougon est née.

ADVERTISEMENT

Encore un film de Henri Duparc qui dure 88 minutes. C'est ue comédie qui raconte l'histoire de Alcaly, surnommé "Demi-dieu", riche cultivateur qui vit paisiblement avec ses 5 épouses dans un village ivoirien. Sa vie change lorsqu'il rencontre Binta, une jeune étudiante renvoyée au village par sa tante. Fasciné par Binta, Alcaly décide de faire d'elle sa sixième épouse. Bien que Binta refuse, ses parents acceptent l'union, attirés par les cadeaux d'Alcaly. Binta finit par céder mais impose des conditions qui bouleversent rapidement la vie familiale.

Ce film explore le pouvoir, la tradition et la résistance individuelle, tout en critiquant les dynamiques familiales et sociales en Côte d'Ivoire.

Sorti en 1981, c'est un film qui plonge au cœur d'une Afrique en pleine mutation, où les traditions ancestrales se heurtent aux aspirations d'une jeunesse moderne. L'histoire tourne autour de Fanta et Karamoko, deux étudiants ivoiriens issus du même village et amoureux l'un de l'autre. Leur amour semble idyllique et tout naturel, d'autant que leurs parents se connaissent parfaitement. Cependant, un obstacle insurmontable se dresse sur le chemin de leur bonheur : Karamoko, fils de griot, ne peut épouser Fanta, fille d'un descendant direct des illustres familles du Mandingue.

ADVERTISEMENT

"Wariko, le gros lot" est un film ivoirien de 95 minutes réalisé par Fadika Kramo-Lanciné en 1994. Le récit se déroule dans les années 1980 à Abidjan et met en scène une famille modeste composée d'Ali, un gendarme, et d'Awa, une commerçante.

Lorsque cette famille gagne trois millions de francs CFA à la loterie, l'euphorie est de courte durée car le ticket gagnant disparaît mystérieusement. Dès lors, la famille se lance dans une quête effrénée pour retrouver le précieux ticket.

ADVERTISEMENT

Témoin oculaire? Partagez avec nous vos infos via les réseaux sociaux ou par mail:

Email: redaction@pulse.ci

ADVERTISEMENT