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Découvrez cinq (5) traditions africaines qui vont vous fasciner !

Notre continent est vaste avec des paysages à couper le souffle et une faune exotique. Au milieu de cette splendeur se trouve une mosaïque de cultures, ce qui nous rend vraiment remarquables.

L'Afrique est riche de sa culture et de son patrimoine [IndiaToday].

Riche de son histoire et de ses coutumes, l'Afrique s'enorgueillit de traditions qui ont résisté à l'épreuve du temps.

Ces traditions sont profondément enracinées dans la spiritualité, l'histoire et un lien magnifique avec la nature. Cet article explore cinq traditions tribales africaines peu communes, qui peuvent sembler étranges à beaucoup. Certaines peuvent même sembler effrayantes à ceux qui ne comprennent pas leur signification.

Ensemble, nous explorerons les rituels, cérémonies et coutumes uniques qui ont façonné les communautés et préservé le patrimoine.

Il est important de noter que cet article ne fait qu'effleurer la question, car les traditions africaines sont innombrables. Plongeons dans le vif du sujet :

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  • Le crachat comme forme de respect

Les Masaï, peuple nomade qui habite certaines régions du Kenya et du nord de la Tanzanie, ont une tradition culturelle unique où le crachat est considéré comme une preuve de respect. Lorsqu'ils accueillent un visiteur, les Masaï crachent sur leur main avant de la serrer en signe d'honneur.

Lors de la cérémonie de mariage d'une jeune fille, son père la bénit en crachant sur son front et ses seins en signe d'amour et d'affection. Cette coutume africaine peut sembler bizarre, mais elle a une signification profonde au sein de la communauté.

  • Port de plaques d'argile sur les lèvres
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Parmi les pratiques uniques qui perdurent en Afrique, la tribu Mursi d'Éthiopie se distingue par sa tradition selon laquelle les femmes portent de grandes plaques de poterie ou de bois sur leurs lèvres inférieures.

Lorsqu'une jeune fille Mursi atteint l'âge de 15 ou 16 ans, sa mère ou une femme plus âgée de la communauté lui coupe soigneusement la lèvre inférieure. Un bouchon de bois est inséré pour maintenir la coupure ouverte pendant environ trois mois, afin qu'elle puisse cicatriser.

Lors d'occasions spéciales, telles que les mariages, les femmes célibataires ou nouvellement mariées portent des plaques labiales en argile ou en bois. Ces plaques symbolisent non seulement la bravoure de la personne qui les porte, mais aussi la fertilité et indiquent que la jeune fille est prête à se marier.

  • Application de boue rouge sur le corps
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Les femmes Himba de Namibie ont la particularité de se parer le corps de boue rouge, connue sous le nom d'ocre rouge ou otjize.

Dès leur plus jeune âge, les filles de la tribu commencent à utiliser l'otjize dans le cadre de leur routine d'hygiène personnelle. Chaque matin, elles appliquent un mélange de graisse et d'ocre rouge sous forme de pâte, créant ainsi une apparence qui plaît aux autres membres de la tribu.

Les origines exactes de cette pratique ont fait l'objet de spéculations, certains suggérant qu'elle offrait une protection contre le soleil ou les insectes. Mais la tribu Himba a précisé que l'application de l'otjize était purement esthétique et qu'elle mettait en valeur sa beauté naturelle.

  • Boire du sang
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Dans la tribu Masaï du Kenya, la consommation de sang revêt une grande importance. Ils consomment du sang cru, du sang cuit et des mélanges de sang et de lait provenant de leur bétail. Le sang est obtenu en coupant l'artère jugulaire d'une vache avec une précision telle qu'elle ne tue pas l'animal. Le mélange de sang et de lait sert de boisson cérémonielle lors de célébrations spéciales ou est administré aux malades en guise de traitement.

Dans la culture masaï, le bétail a une grande valeur. La taille du troupeau est un indicateur du statut social au sein de la communauté, et l'accumulation de bétail est prioritaire par rapport à sa consommation.

  • Danser pour séduire et trouver l'amour
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La tribu nomade des Wodaabe du Niger partage des liens avec les Peuls d'Afrique du Nord. Ils apprécient profondément la beauté et les parades.

Contrairement aux pratiques coutumières observées dans de nombreuses cultures africaines, où les femmes s'exhibent pour attirer des prétendants potentiels, la tribu des Wodaabe suit une tradition inhabituelle.

Dans leur culture, ce sont les hommes qui défilent en participant à une danse traditionnelle appelée « Guérewol ». Les jeunes hommes s'habillent avec des ornements et des peintures faciales traditionnelles. Ils forment des lignes, dansent et chantent dans le but d'attirer l'attention des jeunes femmes à marier. Dans cette danse, ce sont les femmes qui ont le pouvoir de choisir leur futur mari, ce qui fait de la parade nuptiale un processus extraordinaire et inhabituel.

Pulse Nigeria

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